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![Le premier Rp : 6-guns [Far West] Empty](https://2img.net/i/empty.gif)
Salut chers... Sunrisiens !!!
Puisque mon RP n'est plus du tout lu sur UC, je le ramène ici ! (Et également pour me lancer).
Comme je l'avais dit, plus il y a de posts, plus la suite est longue.
Et bien sûr, lisez avec ça (au moins le début) : https://www.youtube.com/watch?gl=FR&clien...nomobile=1
____________________________________________________
Far West, 1907.
L'Ouest sauvage est presque totalement conquis.
Le temps des Cow-boys est révolu, tant la civilisation a grandit.
Les riches de l'Est investissent, la locomotive à vapeur parcourt ces longues étendues sauvages...
Ces étendues sont recouvertes de goudron, de bâtiments, de civilisation...
Les grandes villes s'installent, investissent, construisent, prospèrent...
Mais il existe encore une contrée nostalgique de ce temps, située près de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis d'Amérique !
Des terres sauvages, arides... Celles que l'Homme n'arrive pas à dompter.
Dans ce désert, il n'y a que sable et poussière.
Dans ce désert, l'Homme s'installe néanmoins, construit ses longs chemins de fer, son télégraphe...
La civilisation arrive, petit à petit...
C'est là que le rêve des cow-boys et des bandits vit au grand jour !
Les routes dangereuses, les animaux agressifs et les hommes avides.
Dans les villes, le plus rapide est le dernier debout, ces fameux duels, où les hommes vident leurs 6 coups.
C'est ainsi que commence mon histoire.
Je me nomme Bart Johnson, homme honnête, ancien bandit, ancien membre d'une bande de malfrats.
Je risque ma peau, et ne sera en sécurité que lorsque tous mes vieux frères d'armes seront six pieds sous terre, truffés de plomb.
Quand le passé vous rattrape, vous ne pouvez rien y faire...
____________________________________________________
Je n'ai pas le choix. Je les traquerais à contre-cœur, mais ne faillirai pas.
Je ne sait que faire dans ce wagon... J'attend. Le stress et la peur m'envahissent.
Je suis proche du but, leur repaire, ce lieu souillé... Mais bien gardé.
Comment rentrer ? Enfoncer la porte ? Je serai déjà mort avant même de passer à couvert...
Me faire passer pour l'un des leurs ? Non, ils me reconnaîtraient.
Comment ? Ils sont bien installés ces lâches. Impossible de rentrer...
Mais plutôt que de rentrer, pourquoi pas les faire sortir !
Une bonne diversion, et je vide mon colt.
Mais ils sont six. Et mon je suis seul.
____________________________________________________
Je descend du train, regarde autour de moi.
L'homme qui a pour charge de m'accompagner semble fou.
Je ne lui fait pas confiance. Les cheveux blancs, ridé, les dents noires...
Mais je n'ai pas d'autre choix que de le suivre.
Nous approchons du dernier endroit où ils ont été vus.
Je compte mes balles, charge mon colt. Six balles.
Mon cheval semble harassé de la route.
Le vieil homme a une allure douteuse...
Je suis prêt à tirer.
Nous mettons pied à terre. Je prend une grande bouffée d'air.
Je réfléchis à mon plan. Les faire sortir sera un jeu d'enfant.
Les descendre, moins.
L'homme me braque son 6-coup sur moi.
Je feigne de me rendre. Il s'approche.
Je lève les mains, puis le laisse venir.
____________________________________________________
Il me chope le visage, ses ongles s'enfoncent dans ma peau.
Il me jette par terre. Mon colt est à portée de main.
Je m'en saisi et tire. Le vieux s'écroule, une balle entre les deux yeux.
J'ai attiré un homme, il a les couleurs de la bande.
Mais je ne le connais pas. Je m'approche.
Il ne me remarque pas. Je touche le but.
Je le saisi et l’entraîne avec moi derrière un buisson.
Il se débat, mais je suis le plus rapide.
Je l'assomme de mon colt, puis l'emmène loin d'ici.
Deux heures plus tard, il se réveille.
Je l'interroge sur les défenses de son repaire.
C'est un jeune, il a peur. Il me dira tout.
J'ai pu observer un défaut sur le mur derrière la cabane.
Le jeune m'a dit que craquer une allumette fera brûler le bois.
Des thermites. C'est le genre de chose qui brûle bien.
____________________________________________________
J'ai prit les allumettes du vieux.
Je me fume une cigarette.
Je la jette sur les thermites.
Ils sortent, tout ces maudits malfrats.
Je tire, vide mon colt, recharge.
Ils sont tous à terre. Morts.
Je m'approche. Le sang est l'unique couleur de ce massacre.
La porte s'ouvre. Une carabine se laisse voir.
Elle tire. Je tombe, une balle dans le bras.
Je brandis mon revolver.
Je tire. Je fait mouche.
Le dernier homme debout est mort.
Je me relève. J'ai mal.
Je compte les corps.
Ils ne sont que cinq.
____________________________________________________
Je charge les corps sur un chariot.
La prochaine ville est à 20 miles d'ici.
Je profite du paysage. Les coyotes me poursuivent.
Je perd beaucoup de sang.
Je me fait un garrot.
Plus que 14 miles.
J'arrive enfin dans une petite ville.
Je me dirige vers la cabane du shérif.
Je lui montre les corps.
Il envoie un télégraphe à son supérieur.
Je vais me payer une chambre à l'auberge.
Une catin se fait agresser.
Je braque mon colt contre le malfrat.
Je lui dit d'arrêter net.
Il lève son couteau. Je tire.
____________________________________________________
L'homme est désarmé.
Les forces de l'ordre l'enferment.
Je reçois 10 dollars pour mon geste.
Je paye ma chambre et monte.
Elle semble sobre, les placards sont vides.
Un grand coffre est installé en plein milieu.
Je l'ouvre. Il y a avait quelques balles, ainsi qu'une carte.
Les trésors attendrons, plus qu'une vie, une seule...
Je ferme mes yeux...
Je suis réveillé par des coups de feu dans la ville.
Je me rhabille, vérifie mes balles.
Ils rentrent dans l'auberge.
Je pousse la porte.
C'est un vrai carnage...
Il reste 5 hommes et 3 femmes encore en vie.
Ces cinglés les rassemblent, dos au mur.
Leur chef hurle l'ordre d'éxécution.
Je tire, vide mon 6 coups.
Ils sont à terre, sauf un, touché à la jambe.
Je dois recharger.
Il tue ses otages, ne laissant qu'une seule femme.
Je retire. Il gît mort.
La femme court vers moi.
Elle est traumatisée...
Je tente de la calmer, nous sortons.
Le shérif et ses adjoints arrivent.
La femme et les passants racontent la scène.
On me propose 100 dollars.
Je refuse l'offre.
Qu'ils offrent des funérailles aux défunts.
Je me sent coupable.
Je hais ces pratiques.
On dirais les méthodes de mon ancienne bande.
Puisque mon RP n'est plus du tout lu sur UC, je le ramène ici ! (Et également pour me lancer).
Comme je l'avais dit, plus il y a de posts, plus la suite est longue.
Et bien sûr, lisez avec ça (au moins le début) : https://www.youtube.com/watch?gl=FR&clien...nomobile=1
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Far West, 1907.
L'Ouest sauvage est presque totalement conquis.
Le temps des Cow-boys est révolu, tant la civilisation a grandit.
Les riches de l'Est investissent, la locomotive à vapeur parcourt ces longues étendues sauvages...
Ces étendues sont recouvertes de goudron, de bâtiments, de civilisation...
Les grandes villes s'installent, investissent, construisent, prospèrent...
Mais il existe encore une contrée nostalgique de ce temps, située près de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis d'Amérique !
Des terres sauvages, arides... Celles que l'Homme n'arrive pas à dompter.
Dans ce désert, il n'y a que sable et poussière.
Dans ce désert, l'Homme s'installe néanmoins, construit ses longs chemins de fer, son télégraphe...
La civilisation arrive, petit à petit...
C'est là que le rêve des cow-boys et des bandits vit au grand jour !
Les routes dangereuses, les animaux agressifs et les hommes avides.
Dans les villes, le plus rapide est le dernier debout, ces fameux duels, où les hommes vident leurs 6 coups.
C'est ainsi que commence mon histoire.
Je me nomme Bart Johnson, homme honnête, ancien bandit, ancien membre d'une bande de malfrats.
Je risque ma peau, et ne sera en sécurité que lorsque tous mes vieux frères d'armes seront six pieds sous terre, truffés de plomb.
Quand le passé vous rattrape, vous ne pouvez rien y faire...
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Je n'ai pas le choix. Je les traquerais à contre-cœur, mais ne faillirai pas.
Je ne sait que faire dans ce wagon... J'attend. Le stress et la peur m'envahissent.
Je suis proche du but, leur repaire, ce lieu souillé... Mais bien gardé.
Comment rentrer ? Enfoncer la porte ? Je serai déjà mort avant même de passer à couvert...
Me faire passer pour l'un des leurs ? Non, ils me reconnaîtraient.
Comment ? Ils sont bien installés ces lâches. Impossible de rentrer...
Mais plutôt que de rentrer, pourquoi pas les faire sortir !
Une bonne diversion, et je vide mon colt.
Mais ils sont six. Et mon je suis seul.
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Je descend du train, regarde autour de moi.
L'homme qui a pour charge de m'accompagner semble fou.
Je ne lui fait pas confiance. Les cheveux blancs, ridé, les dents noires...
Mais je n'ai pas d'autre choix que de le suivre.
Nous approchons du dernier endroit où ils ont été vus.
Je compte mes balles, charge mon colt. Six balles.
Mon cheval semble harassé de la route.
Le vieil homme a une allure douteuse...
Je suis prêt à tirer.
Nous mettons pied à terre. Je prend une grande bouffée d'air.
Je réfléchis à mon plan. Les faire sortir sera un jeu d'enfant.
Les descendre, moins.
L'homme me braque son 6-coup sur moi.
Je feigne de me rendre. Il s'approche.
Je lève les mains, puis le laisse venir.
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Il me chope le visage, ses ongles s'enfoncent dans ma peau.
Il me jette par terre. Mon colt est à portée de main.
Je m'en saisi et tire. Le vieux s'écroule, une balle entre les deux yeux.
J'ai attiré un homme, il a les couleurs de la bande.
Mais je ne le connais pas. Je m'approche.
Il ne me remarque pas. Je touche le but.
Je le saisi et l’entraîne avec moi derrière un buisson.
Il se débat, mais je suis le plus rapide.
Je l'assomme de mon colt, puis l'emmène loin d'ici.
Deux heures plus tard, il se réveille.
Je l'interroge sur les défenses de son repaire.
C'est un jeune, il a peur. Il me dira tout.
J'ai pu observer un défaut sur le mur derrière la cabane.
Le jeune m'a dit que craquer une allumette fera brûler le bois.
Des thermites. C'est le genre de chose qui brûle bien.
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J'ai prit les allumettes du vieux.
Je me fume une cigarette.
Je la jette sur les thermites.
Ils sortent, tout ces maudits malfrats.
Je tire, vide mon colt, recharge.
Ils sont tous à terre. Morts.
Je m'approche. Le sang est l'unique couleur de ce massacre.
La porte s'ouvre. Une carabine se laisse voir.
Elle tire. Je tombe, une balle dans le bras.
Je brandis mon revolver.
Je tire. Je fait mouche.
Le dernier homme debout est mort.
Je me relève. J'ai mal.
Je compte les corps.
Ils ne sont que cinq.
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Je charge les corps sur un chariot.
La prochaine ville est à 20 miles d'ici.
Je profite du paysage. Les coyotes me poursuivent.
Je perd beaucoup de sang.
Je me fait un garrot.
Plus que 14 miles.
J'arrive enfin dans une petite ville.
Je me dirige vers la cabane du shérif.
Je lui montre les corps.
Il envoie un télégraphe à son supérieur.
Je vais me payer une chambre à l'auberge.
Une catin se fait agresser.
Je braque mon colt contre le malfrat.
Je lui dit d'arrêter net.
Il lève son couteau. Je tire.
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L'homme est désarmé.
Les forces de l'ordre l'enferment.
Je reçois 10 dollars pour mon geste.
Je paye ma chambre et monte.
Elle semble sobre, les placards sont vides.
Un grand coffre est installé en plein milieu.
Je l'ouvre. Il y a avait quelques balles, ainsi qu'une carte.
Les trésors attendrons, plus qu'une vie, une seule...
Je ferme mes yeux...
Je suis réveillé par des coups de feu dans la ville.
Je me rhabille, vérifie mes balles.
Ils rentrent dans l'auberge.
Je pousse la porte.
C'est un vrai carnage...
Il reste 5 hommes et 3 femmes encore en vie.
Ces cinglés les rassemblent, dos au mur.
Leur chef hurle l'ordre d'éxécution.
Je tire, vide mon 6 coups.
Ils sont à terre, sauf un, touché à la jambe.
Je dois recharger.
Il tue ses otages, ne laissant qu'une seule femme.
Je retire. Il gît mort.
La femme court vers moi.
Elle est traumatisée...
Je tente de la calmer, nous sortons.
Le shérif et ses adjoints arrivent.
La femme et les passants racontent la scène.
On me propose 100 dollars.
Je refuse l'offre.
Qu'ils offrent des funérailles aux défunts.
Je me sent coupable.
Je hais ces pratiques.
On dirais les méthodes de mon ancienne bande.
Dernière édition par Siris62 le Ven 16 Aoû - 0:29, édité 2 fois
